jeudi 11 avr 2024
MA THESE EN 180 SECONDE 2024
1Ma thèse en 180 secondes finale UNIGE 2024
01:34:13
2Kathinka salzmann / 1er prix du jury03:19
3Mixue Tan / 2ème prix du jury03:18
4Philippe Voruz / 3ème prix du jury03:17
5Jamil zaghir / PRIX DU PUBLIC03:20
6Anthony Nuber-Champier03:21
7Jérémy Kessler03:28
8Mégane Jermini03:23
9Karin Jordan03:25
10Marine Mauperin03:15
11Rebecka Sax03:18
12Dao Nguyen03:16
13Vincent Louvel03:22
(In)égalités entre les parents en droit de la famille
Analyse critique de réformes choisies en droit de la famille du point de vue de l'égalité et de l'interdiction de la discrimination: autorité parentale et entretien de l'enfant
Karin Jordan est doctorante à la Faculté de droit de l’Université de Genève. Après avoir obtenu son brevet d’avocate et avoir travaillé au sein de plusieurs études genevoises, notamment dans le domaine du droit de la famille, elle est retournée à l’Université pour poursuivre sa formation.
Sa thèse s’intitule « Analyse critique de réformes choisies en droit de la famille du point de vue de l'égalité et de l'interdiction de la discrimination: autorité parentale et entretien de l'enfant ». Dans ce contexte, Karin s’intéresse aux différentes dispositions topiques applicables en Suisse en matière d’égalité et de non-discrimination, à savoir sous l’angle de la Constitution fédérale, mais également à l’aune de la Convention de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales ou encore de la Convention sur l’élimination de toutes les formes de discriminations à l’égard des femmes. Son travail tend ainsi à mettre en exergue d’éventuelles discriminations présentes dans la législation du droit de la famille, que celles-ci soient directes, indirectes ou structurelles, fondant potentiellement des cas de discrimination multiple, voire intersectionnelle.
En parallèle à la rédaction de sa thèse et de ses publications, Karin en a profité pour se former en médiation, en droit collaboratif, en magistrature ou encore en développement personnel. Elle a également travaillé durant cette période comme greffière-juriste au sein du Tribunal des prud’hommes de Genève, comme avocate et médiatrice et comme assistante au sein du département de droit civil puis au sein de l’École d’avocature (ECAV) de l’Université de Genève.